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Etoiles de mer dans l'aquarium marin

par P. WILKENS (Aquarama - 1985) / adapté par Jean SCHNUGG
Les Etoiles de mer sont des hôtes fascinants pour l'aquarium marin. Certaines espèces conviennent parfaitement pour l'aquariophile marin débutant, d'autres nécessitent des connaissances plus approfondies pour une maintenance correcte évitant les pertes prématurées.

Protoreaster lincki de la famille des Oreasteridae est l'une des plus belles Etoiles de mer tropicales. Photo: P. Wilkens


Depuis l'antiquité les Echinodermes avec leur symétrie radiaire à cinq bras représentent les symboles de la mer les plus connus. On connaît environ 1500 espèces réparties en trois ordres. On les rencontre dans toutes les mers et toutes les profondeurs. Dans les mers tempérées et les mers froides il peut y avoir peu d'espèces, mais un nombre énorme d'individus, alors que dans les mers tropicales c'est exactement le contraire. Les plus nombreuses et les plus belles espèces se trouvent dans les régions tropicales et subtropicales de nos Océans.
Commençons par l'ordre des Phanerozonia. Il contient la plupart des espèces originaires des mers chaudes que l'on importe pour l'aquariophilie.
Les Oreasteridae, Etoiles-coussins, dont la forme rappelle certains coussins de canapé de nos grand-mères, sont certainement les Etoiles de mer tropicales les plus connues. Ce sont des espèces massives, souvent très colorées et atteignant une grande taille. Protoreaster lincki, très fréquent dans les récifs coralliens de l'ouest de l'Océan Indien, mais moins fréquent dans l'Indo-australien central, est certainement le plus beau représentant. Ce fut l'une des premières Etoiles de mer tropicales que je possédais il y a une quinzaine d'années. Elle était vorace. A l'époque j'avais un aquarium de 120 l, habité par des Anémones, Oursins, Bernard-l'hermite, petits crabes et divers autres invertébrés provenant des côtes de la Méditerranée. L'Etoile de mer attaqua en premier les Anémones verruqueuses (Bunodactis verrucosa), Anémones rouges ou Tomates de mer (Actinia equina) et sa parente Actinia cari. Plus tard elle réussit à prendre un Bernard-l'hermite qui avait quitté sa coquille pour muer. Et un jour je la trouvais au-dessus d'un Oursin Paracentrotus lividus. J'enlevais immédiatement l'Oursin, mais il mourut peu de temps après, car la mince peau de sa coquille avait déjà été en partie digérée par l'Etoile de mer dont la voracité est mise en évidence par ces exemples.
Ses nombreux parents très décoratifs ne sont pas moins voraces, de sorte qu'on ne peut pas les maintenir dans un aquarium d'invertébrés usuel. Etant très robustes, on peut pratiquement les maintenir qu'en compagnie d'Anémones très urticantes, des Cerianthes, Crabes de grande taille, Langoustes, etc., ainsi qu'avec des poissons rapides. A condition que ces derniers ne soient pas des Balistes, Tetraodontidés et apparentés. Les grands aquariums publics présentent souvent une collection d'Etoiles de mer, notamment des Oreasteridae toujours très belles. Elles ne se cachent pas durant le jour, leur alimentation ne pose pas de problème. La chair de Moules est très appréciée, mais il faut varier avec de la chair de poisson, des crevettes et petits crustacés. La nourriture pour les poissons d'aquarium, sous forme de comprimés, est également accepté.

Protoreaster mammillatus est une prédatrice qui attaque même les oursins à courtes épines. Photo: J. Teton


En plus de Protoreaster lincki, les espèces suivantes originaires de toute la zone Indo-australienne, de l'ouest de l'Océan Indien et de l'est de l'Océan Pacifique, sont plus ou moins fréquemment importées : Pentaceraster tuberculatus de couleur vert-beige marbré, Pentaceraster mammillatus qui est gris et rouge, le bien connu Oreaster nodosus, Pentaceraster horridus diversement coloré, Choriaster granulatus de couleur jaune-orange et gris, atteignant jusqu'à 30 cm, ainsi que les formes " coussins " Culcita schmideliana, C. coriacea et C. novae-guineae. Oreaster reticulatus avec son dessin réticulé jaune et noir, ainsi que Oreaster antillarum qui lui ressemble, sont originaires des Caraïbes. Sont également importé deux espèces du Pacifique-ouest, Nidorellia armata de couleur orange et lavande qui porte de longues épines mobiles sur le haut du corps et Oreaster occidentalis qui est vert et rouge. Les deux apparaissent du nord du Golfe de Californie jusqu'aux Galapagos.

Linckia laevigata est une très belle Etoile de mer que l'on voit fréquemment, même durant le jour, en eau peu profonde des récifs coralliens de l'Indo-Pacifique. Photo: J. Teton


La famille des Ophidiasteridae, riche en espèces, appartient également à l'ordre des Phanerozonia. Nous y trouvons d'inoffensifs dévoreurs de restes, ainsi que des espèces pas trop voraces. Ces Etoiles de mer se distinguent des précédentes par leurs longs bras ronds. Le représentant le plus connu est Linckia laevigata dont l'aire de répartition s'étend de l'est de l'Afrique à travers tout l'Océan Indien jusqu'au centre et sud de l'Océan Pacifique. On trouve donc cette magnifique Etoile de mer bleu-clair à bleu-foncé aussi bien dans les récifs de l'ile Maurice que dans le récif de la Grande Barrière d'Australie. La maintenance de Linckia laevigata n'est pas des plus faciles. Elle est souvent infesté d'ectoparasites. Ce sont principalement divers Copépodes et Gastropodes qui parasitent la peau tendre qui recouvre les plaques du squelette.
La conservation de cette Etoile de mer réussit le mieux dans les aquariums d'invertébrés qui sont biologiquement bien " conditionnés ", aménagés avec beaucoup de roches récifales vivantes. Je la conserve avec succès dans mon aquarium-récif où elle est très utile en dévorant les restes du plancton artificiel déposé au fond.
Les autres espèces du genre Linckia telles que Linckia guildingi et L. multifora de l'Indo-Pacifique, ainsi que Linckia columbiae du Pacifique-ouest sont moins attractives. Elles se remarquent principalement par la différence fondamentale de la longueur de leurs bras. Ainsi, parmi 50 Linckia multifora collectées à l'ile Maurice je n'en ai pas trouvé une seule qui ressemblait à une autre. Depuis l'exemplaire à un bras jusqu'à celui de neuf bras, tout y était, y compris la forme comète bien connue, avec un long bras plus deux, trois, quatre ou même cinq bras plus courts. Ces Linckia semblent avoir fait de l'autonomie, donc de l'éjection de certaines parties du corps (que nous connaissons des Lézards), leur principe de vie.

Fromia milleporella et Fromia elegans qui est un peu plus grande, sont souvent importées d'Indonésie, des Philippines et Ceylan. Photo: J. Teton


Dans le genre Fromia nous trouvons de très belles Etoiles de mer de couleur rouge, régulièrement importées, mais dont la maintenance en aquarium est assez délicate. Fromia gardaquana de la Mer Rouge et de l'ouest de l'Océan Indien est la plus belle de ces espèces. Elle vit dans les profondeurs du récif et se conserve rarement plus de trois à quatre mois dans l'aquarium, ensuite elle se décompose. Par contre Fromia elegans et Fromia milleporelia sont très durables. J'ai vu F. milleporella par centaines dans les récifs de l'ile Maurice, en eau peu profonde. Il faut les maintenir dans un aquarium d'invertébrés bien rodé et les soigner comme celles du genre Linckia.
Les espèces des genres Ophidiaster et Leiaster sont des microphages qui se nourrissent de toutes sortes d'animalcules, débris organiques, etc. mais ne s'attaquant pas (d'après mes observations) aux Invertébrés sessiles vivants. Leurs bras sont courts et mucilagineux. Leiaster coriaceus et L. leachi sont importées de temps à autre. On les nomme Etoile de mer-Picasso en raison de leur aspect multicolore rouge, jaune, orange, bleu, violet avec toutes les nuances possibles. Par contre Ophidiaster hempricki, O. duncani, O. robillardi et d'autres sont monochromes orange, rouge foncé ou violet foncé. Pour la maintenance en aquarium on procède comme pour les Linckia et Fromia.
Phataria pyramidata et Phataria unifascialis du Pacifique-ouest sont leurs proches parents. La couleur fondamentale de la première est brun à pourpre avec sur les bras deux bandes longitudinales composées de points jaune-rouges. La coloration de Phataria unifasciatus est encore plus belle : brun-orange avec des lignes latérales en bleu ciel ou des points rouges sur les bras. Ces deux Etoiles de mer sont importées principalement du Golfe de Californie et des côtes pacifiques de l'Amérique centrale. De la famille des Ophidiasteridae on trouve parfois dans le commerce encore deux autres très belles Etoiles de mer : Gomophia aegiptiaca et, Ferdina flavescens. Les deux sont rares, autrefois elles nous parvenait fréquemment de la Mer Rouge.

Nardoa tuberculata est une Etoile de mer durable, mais à tendance prédatrice. Photo: J. Teton


Des Etoiles de mer du genre Nardoa sont régulièrement importées. Toutes sont des espèces très durables, à bras sveltes et ronds. Elles appartiennent également à la famille Ophidiasteridae. L'espèce la plus connue est Nardo variolata dont l'aire de répartition s'étend de l'ouest de l'Océan Indien jusqu'à l'est de l'Océan Pacifique. Elle est multicolore, sa couleur fondamentale peut varier entre gris et orange clair. Les tubercules sur le dessus du corps sont souvent plus clairs ou alors orange foncé. Certaines présentent parfois des bandes transversales brun-clair sur les bras. L'alimentation de cette Etoile de mer ne pose pas de problème, elle accepte la chair de Moule ou de poisson finement hachée, ainsi que des fragments de comprimés. Elle est moins vorace et ne peut pas ouvrir elle-même les Moules. Ses deux parents Nardoa tuberculata et Nardoa novae-guinae sont par contre plus voraces. La première est importée principalement de l'Afrique orientale, île Maurice et Ceylan, la seconde est certes plutôt originaire de la zone Indo-australienne ouest, mais nous parvient le plus souvent des Philippines. Elle est très fréquente dans le récif de la Grande Barrière d'Australie. Dans mes aquariums les deux espèces ont déjà attaqué des petites Anémones, mais jamais des coraux ou autres animaux-fleurs sessiles, par contre, certaines Eponges, espèces des genres Halichondria et Haliclona, ainsi que des Ascidies.
Les trois Nardoa mentionnées ci-dessus sont très durables. Dans l'aquarium les bras blessés guérissent rapidement et des parties sectionnées sont régénérées. Ces Etoiles de mer conviennent principalement pour les aquariums d'invertébrés hébergeant de grandes Anémones, des Cerianthes et des animaux se déplaçant agilement. Elles peuvent également très bien cohabiter avec des poissons coralliens de petite taille.
Les Etoiles de mer de la famille des Astropectinidae qui vivent exclusivement dans le sable qu'elles quittent au pis aller la nuit, ne sont guère appréciées par les aquariophiles. Peu à peu on arrive cependant à les faire sortir du sable au cours de la journée si on pose des fragments de chair de Moule aux endroits où l'on suppose qu'elles sont enfouies. La plus connue est Astropecten aurantiacus de la Méditerranée. D'autres espèces nous parviennent sporadiquement des Tropiques : Astropecten hemprichi de l'Indo-Pacifique ou Astropecten articulatus et A. duplicatus des Caraïbes. Cela est également valable pour les espèces du genre Luidia.
Les Luididae présentent le plus souvent plus de cinq bras, des exemplaires avec jusqu'à neuf bras ne sont pas rares. Presque toutes vivent sur les sols sablonneux ou vaseux des eaux profondes. Si elles sont remontées par hasard dans le filet elles font tomber rapidement une partie de leurs bras. Leur colloration beige à jaunâtre et gris n'a rien de particulier.
Les représentants de l'ordre des Spinulosa sont plutôt limités aux mers tempérées et aux mers froides. Des Subtropiques et Tropiques nous connaissons surtout la célèbre " Couronne d'épine " Acanthaster planci. Il y a quelques années cette Etoile de mer a détruit de larges zones récifales dans l'Indo-Pacifique, car cette espèce se nourrit principalement de polypes de corail, mais sans pourtant être totalement spécialisée dans cette nourriture. Parmi ses congénères, cette Etoile de mer armée de longues épines est la seule qui soit venimeuse. Elle est peu connue en aquariophilie vu qu'elle est rarement importée.
Par contre, les Etoiles de mer pourprées de la famille des Echinasteridae sont très populaires parmi les amateurs. La belle espèce rouge de la Méditerranée et de l'Atlantique tempéré Echinaster sepositus est bien connue. Avec Echinaster purpureus de l'Indo-Pacifique, Echinaster tenuispina des côtes pacifiques du double continent américain, ainsi que Echinaster spinulosus et E. sentus de l'Antlantique ouest subtropical-tropical dans la zone de la mer des Carabes, nous trouvons des espèces apparentées à coloration similaire. Les soins à prodiguer aux Echinaster se rapprochent de ceux dispensés pour les espèces du genre Linckia. Ce sont principalement des dévoreurs de restes qui n'entament que très rarement certaines Eponges ou des Ascidies. D'après mes expériences les espèces du genre Echinaster meurent de faim dans l'aquarium, car il semble que nous ne pouvons pas leur offrir la nourriture indispensable. Je n'ai jamais réussi à maintenir un seul exemplaire en vie au-delà de deux ans sans qu'il ait diminué progressivement.

Mithrodia bradleyi est magnifique, mais hélas rarement importée. Celle-ci est originaire des Galapagos. Photo: J. Teton


Les espèces du genre Mithrodia de l'Indo-Pacifique, telles que Mithrodia clavigera et M. bradleyi, sont, par contre, beaucoup plus facile à conserver. La première nous parvient le plus souvent de l'île Maurice et de Ceylan, la seconde des îles Hawaïennes, des côtes pacifiques de l'Amérique centrale dans la région de Panama, elle se rencontre aux Galapagos, Les Mithrodiidae sont des voraces modérés, elles se remarquent principalement par le haut du corps armé d'épines et la magnifique couleur orange. Elles se régalent de chair de Moule et de poisson finement hachée, de petits crustacés ainsi que des Tetratips broyés ou comprimés similaires. Pour les conserver on procède comme pour celles du genre Nardoa.
La famille des Asterinidae, avec la bien connue Asterina gibbosa de la Méditerranée et de l'Atlantique tempéré, fait également partie des Spinulosa. La ressemblante Asterina burtoni vit dans l'Océan Indien et dans l'Océan Pacifique ouest on trouve la belle Patiria miniata de couleur rouge foncé à orange. Patiria pectinifera, son parent direct, est très commune aux côtes japonaises et jusqu'à Formose. Les Asterinidae sont des carnassiers voraces. Dans mes aquariums méditerranéens mes Asterina gibbosa ont dévoré au fur et à mesure toutes les petites Actinia equina sans que je m'en aperçoive durant pas mal de temps. Il faut donc être vigilant et ne pas les faire cohabiter avec des petits Invertébrés sessiles délicats. Il arrive souvent que des Sabelles ou Serpules soient digérées dans leur tube, car ces Etoiles de mer peuvent dévaginer leur estomac et l'introduire dans le tube où la proie sera attaquée par les sucs digestifs.
Le dernier ordre, les Forcipulata, comprend toutes les Etoiles de mer des mers tempérées et mers froides. La famille des Asteriidae contient un grand nombre d'espèces. A quelques exceptions près ce sont des animaux d'eau froide qui ne conviennent pas pour l'aquarium marin chauffé et ne seront donc pas présentés dans le cadre de cet article. Quelques espèces de la Méditerranée et de l'Atlantique, telles que Marthasterias glacialis et Coscinasterias tenuispina seront présentées dans une autre parution.

Pentaster obtusatus, comme d'ailleurs toutes les Oreastidae, se distingue par son corps massif et sa voracité. Photo: J. Teton


En résumé, du point de vue nutrition nous pouvons distinguer deux grands groupes d'Etoiles de mer. Les unes sont des prédatrices voraces qui arrivent à l'aide des ambulacres et des sucs digestifs à ouvrir et à digérer des Mollusques bivalves tels par ex. des Ostreidae (Huîtres).
Ce sont principalement les espèces tropicales de la famille des Oreasteridae. Les Astropecten, Asterina et patina sont également voraces. Parmi les Ophidiasteridae nous trouvons surtout des microphages. Quelques
espèces du genre Nardoa sont également prédatrices.
Les espèces des genres Linckia, Fromia, Leiasteret Ophidiaster conviennent très bien pour être conservées dans un aquarium-récif en compagnie d'Anthozoaires, d'Eponges, de Sabelles, de Serpules, petites Crevettes
délicates, etc. C'est dans ce genre d'aquarium que la maintenance durant un temps prolongé de ces Etoiles de mer réussit le mieux. Les aquariums marins hébergeant des grands poissons, des crabes et autres Invertébrés robustes et mobiles conviennent pour la maintenance des Etoiles de mer prédatrices.
Toutes les substances employées usuellement en aquariophilie marine conviennent comme nourriture pour les Etoiles de mer, par ex. viande de Moules, de crabes, de poissons, de poulpes, ainsi que des crevettes de très petite taille. En présence de poissons, il est préférable d'introduire la nourriture après avoir éteint l'éclairage, les Etoiles de mer seront alors plus dérangées par les poissons. Le mieux c'est de glisser les fragments de nourriture sous leurs bras, y compris des Tetratips entiers ou brisés. Les dévoreurs de restes et les microphages ne se laissent pas imposer la nourriture, ils la cherchent eux-mêmes.

Oreaster nodosus se rencontre fréquemment dans leso récifs coralliens de l'Indo-Pacifique tropical. Photo: J. Teton


Les espèces du genre Oreaster, toujours affamées, conviennent pour l'amateur débutant, car elles ne lui posent pas de problèmes de nourriture. Il lui suffira de veiller à la composition du peuplement de son bac. Les Nardoa peuvent être conseillées pour le débutant. Pour les Etoiles de mer plus sensibles il faut savoir conduire un aquarium d'invertébrés avec les algues indispensables. La microfaune qui s'y trouve suffit pour la plupart des espèces. Les Etoiles de mer ne supportent absolument pas des variations de la salinité et de la densité. Lors d'un transfert il faut employer la méthode du goutte à goutte qui a été décrite précédemment dans l'article sur les Oursins. Lors de l'achat il faut veiller à obtenir des sujets bien nourris avec des bras pleins et épais. Le sillon longitudinal sur la face inférieure des bras doit se fermer rapidement et les ambulacres doivent être rétractés. Chez les Etoiles de mer aux bras sveltes et ronds il faut veiller aux blessures de l'épiderme. Elles guérissent certes souvent, mais si on est malchanceux l'achat se transforme dans l'aquarium peu à peu en un petit reste d'éléments squelettiques.
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